COLLINES
2009
C’est en rêvant des dunes du désert algérien de Tassili qu’Antoine Pierini a soufflé ces bulles abstraites, qui font aussi penser à des gouttes d’eau ou à des cellules. Sont-elles plus petites, plus grandes que dans le réel ? Elles invitent par ce jeu d’échelle à envisager l’infiniment grand et l’infiniment petit.

C’est en rêvant des dunes du désert algérien de Tassili qu’Antoine Pierini a soufflé ces bulles abstraites, qui font aussi penser à des gouttes d’eau ou à des cellules. Sont-elles plus petites, plus grandes que dans le réel ? Elles invitent par ce jeu d’échelle à envisager l’infiniment grand et l’infiniment petit.

C’est en rêvant des dunes du désert algérien de Tassili qu’Antoine Pierini a soufflé ces bulles abstraites, qui font aussi penser à des gouttes d’eau ou à des cellules. Sont-elles plus petites, plus grandes que dans le réel ? Elles invitent par ce jeu d’échelle à envisager l’infiniment grand et l’infiniment petit.

C’est en rêvant des dunes du désert algérien de Tassili qu’Antoine Pierini a soufflé ces bulles abstraites, qui font aussi penser à des gouttes d’eau ou à des cellules. Sont-elles plus petites, plus grandes que dans le réel ? Elles invitent par ce jeu d’échelle à envisager l’infiniment grand et l’infiniment petit.