COLLINES
2009
Elles ne représentent rien, et pourtant elles évoquent tout. Des formes pleines, douces, organiques. Comme des fruits du sol, comme des pensées minérales. Chacune est une poussée de matière. Pas une montagne, mais une colline : modeste, mais fertile. Le verre y devient chair géologique, surface d’érosion lente. Il capte la lumière, la diffracte, l’absorbe parfois, jamais de la même manière. On croit y voir des embryons, des graines, des mondes en formation. Mais c’est peut-être le contraire : une sédimentation du rêve, un poids accumulé. Une mémoire enfouie qui remonte doucement à la surface.

Elles ne représentent rien, et pourtant elles évoquent tout. Des formes pleines, douces, organiques. Comme des fruits du sol, comme des pensées minérales. Chacune est une poussée de matière. Pas une montagne, mais une colline : modeste, mais fertile. Le verre y devient chair géologique, surface d’érosion lente. Il capte la lumière, la diffracte, l’absorbe parfois, jamais de la même manière. On croit y voir des embryons, des graines, des mondes en formation. Mais c’est peut-être le contraire : une sédimentation du rêve, un poids accumulé. Une mémoire enfouie qui remonte doucement à la surface.

Elles ne représentent rien, et pourtant elles évoquent tout. Des formes pleines, douces, organiques. Comme des fruits du sol, comme des pensées minérales. Chacune est une poussée de matière. Pas une montagne, mais une colline : modeste, mais fertile. Le verre y devient chair géologique, surface d’érosion lente. Il capte la lumière, la diffracte, l’absorbe parfois, jamais de la même manière. On croit y voir des embryons, des graines, des mondes en formation. Mais c’est peut-être le contraire : une sédimentation du rêve, un poids accumulé. Une mémoire enfouie qui remonte doucement à la surface.

Elles ne représentent rien, et pourtant elles évoquent tout. Des formes pleines, douces, organiques. Comme des fruits du sol, comme des pensées minérales. Chacune est une poussée de matière. Pas une montagne, mais une colline : modeste, mais fertile. Le verre y devient chair géologique, surface d’érosion lente. Il capte la lumière, la diffracte, l’absorbe parfois, jamais de la même manière. On croit y voir des embryons, des graines, des mondes en formation. Mais c’est peut-être le contraire : une sédimentation du rêve, un poids accumulé. Une mémoire enfouie qui remonte doucement à la surface.